Avis d'internautes : L'émancipation

S'il vous plait, pouvez-vous transmettre directement ce message à Dieudo ? Pouvez-vous faire une exception ? Je vous en prie. Voici la réponse que je vais lui donner à contre cœur (car pour moi, c'est le meilleur d'entre tous) : "Franchement, j'ai été déçu sur une partie de ton spectacle. On aurait pu se passer du sketch méprisant sur le Messie car ce n'était pas les religions de la chrétienté qui étaient visées mais bien plutôt le personnage (il s'agit de l'homme qui a le plus marqué l'histoire de l'humanité tant en paroles qu'en actions). C'est donc véritablement regrettable. Si les religions de la chrétienté se sont conduites n'importe comment depuis lors, le Christ n'y ait absolument pour rien... J'ai compris que tu en voulais à Dieu et à son Messie (si tu n'y crois pas, alors cela se situe dans l'imaginaire) de la situation déplorable que nous vivons tous dans ce monde véritablement malfaisant (ou système satanique que tu dénonces toujours excellemment dans tes spectacles). Certes, je traduis ton message à ma façon mais je crois que c'est ce que tu penses tout au fond de toi (en tout cas les propos que tu as tenu lors de ce sketch le laisse entendre...)." Je tiens donc à porter à ton attention ces infos essentielles pour y voir plus clair dans ce monde enténébré : À cause de sa contestation à la légitimité de la souveraineté universelle de Dieu en Éden, quel prix l’humanité a dû payer en termes de malheurs et de souffrances pour que soit apportée la preuve incontestable que l’homme ne peut pas se diriger lui-même ! Pour cette raison, beaucoup se disent qu'un Dieu d'amour, d'une sagesse et d'une intelligence infinies, un Dieu Tout-Puissant et parfait en justice aurait dû être capable d'éviter le malheur pour la famille humaine ! Ecclésiaste 4:1 ; Habaqouq 1:2, 3, 13 (2ème partie du verset 13) ; Jérémie 12:1 (2ème partie du verset) Mais c'est oublier que/qu' : 1) il y a une énorme différence entre le champ de vision de simples mortels que nous sommes avec celui de Dieu car, de son point de vue, toute affaire de portée universelle est placée dans la perspective du futur éternel. Autrement dit, le regard que Dieu porte sur cette question capitale tient compte d’un paramètre qui nous échappe totalement,à savoir l’éternité…Isaïe 55:8, 9 Ecclésiaste 3:14 2) dans ce monde dominé par Satan, Dieu n'allait pas, à son insu, chercher à neutraliser les souffrances humaines avant qu'elles n'apparaissent. Étant Tout-Puissant, le Créateur aurait pu faire en sorte qu'aucun malheur ne nous atteigne. Mais s'il avait agi ainsi, sacrifiant au passage son infinie sagesse sur l'autel d'un sentimentalisme purement émotif, cela n'aurait-il pas signifié cautionner le Diable dans sa domination des humains et le soutenir dans sa rébellion ? Et l'humanité, n'aurait-elle pas pu croire qu'elle était capable de se gouverner elle-même ? La grande question en jeu portant sur la légitimité de la souveraineté universelle de Dieu, c'est-à-dire, son droit légal à être le dirigeant absolu et incontesté de l’univers, Satan aurait pu réclamer en toute légalité l'exercice de la souveraineté sur les humains. Il en est de même pour l'humanité revendiquant son droit définitif à l'autodétermination. Révélation 4:11 ; 11:15 ; 15:3, 4 3) il fallait que les deux parties disposent de suffisamment de temps pour prouver leurs prétentions. Ce préjudice universel réclamait donc des réponses qu’une simple démonstration de force ne pouvait apporter. En fait, exécuter les trois rebelles aurait pu laisser supposer qu’ils avaient raison. Détenteur de l’autorité absolue, Dieu a alors décidé d’intenter une action judiciaire devant le tribunal de l’univers pour que, dans l’esprit de tout observateur, la question soit définitivement réglée. Isaïe 46:10, 11 ; Ecclésiaste 3:1, 17 ; 1 Corinthiens 15:21-28. 4) Dieu est pleinement conscient que, tandis que la procédure se déroule, l’humanité continue de souffrir. Cela le rend donc déterminé à clore l’affaire au plus tôt. Il est évident qu'il ne sera pas permis au Diable de vivre plus longtemps que nécessaire, ni que les effets de son influence perdurent. D’un autre côté, Dieu ne veut pas en finir avec lui avant l’heure, avant que ce procès universel ne soit complètement terminé. 1 Jean 5:19 ; Révélation 12:9 et 20:10 5) Dieu considère cette tragique situation comme temporaire, passagère et momentanée, de la même façon qu'un père de famille accepterait que son enfant subisse une intervention chirurgicale très douloureuse sachant qu'elle lui sauvera la vie. Comparée au cycle habituel d'une vie humaine, cette opération, fusse-t-elle terrible, n'aura été qu'un bref mauvais moment à passer. Il en sera de-même pour les humains de conditions parfaites vivants depuis de millénaires se remémorant ce qu'ils ont vécu dans le monde actuel. Face à l'éternité, la permission divine des souffrances sera considérée comme une période extrêmement brève de l'histoire et plus le temps passera, plus ils réaliseront combien elle était éphémère. 1 Jean 2:17 ; 1 Corinthiens 15:24-28 6) s'en prendre à la création intelligente de Dieu au point de la violenter revient à faire de-même vis-à-vis de son créateur ! Cela montre que Jéhovah est infiniment supérieur à Satan pour pouvoir se permettre de le laisser l'agresser. En effet, quand quelqu'un agresse quelqu'un qui ne se défend pas (qui ne rend pas coup pour coup), il faut, pour que le combat puisse simplement durer, que celui qui est agressé soit infiniment plus grand, plus résistant et plus puissant que celui qui l'agresse. Ce fait est donc véritablement rassurant pour nous car le Créateur de l'univers nous promet la délivrance en s'employant à éliminer notre ennemi commun une fois pour toutes au moment qu'il jugera le plus opportun. Jéhovah Dieu est réellement "Tout-Puissant". Révélation 15:3 ; Ézékiel 28:11-19 7) Dieu se devait de répondre aux questions dans lesquelles son nom et sa réputation étaient impliqués ! Malheureusement pour nous, le règlement de ce litige devenu prioritaire importait infiniment plus que le triste sort des humains (Psaume 83:18 ; Matthieu 6:9 ; Daniel 4:34, 35 et 37). N'y voyons pas là une preuve que Dieu ne s’intéresse égoïstement qu’à ses propres intérêts. Il a agi aussi pour le bien de ses créatures car même s'il a été diffamé quant à sa façon de diriger l’univers, il n’était pas le seul à être concerné. Les humains ont également été calomniés. Le Diable leur a prêté des mobiles purement égoïstes en prétendant qu’aucun d’entre eux ne resterait fidèle à Dieu dans l’épreuve. En accusant Dieu d'acheter l’attachement de Job, un homme fidèle du passé, il a insinué que l'intégrité du patriarche n’était qu’un simulacre, que son culte était purement intéressé. Que Job cesse d’être béni, a-t-il affirmé, et il maudira son Créateur. S’il parvenait à briser l’intégrité de celui-là, quel autre homme pourrait lui résister ? Car c’est bien la fidélité de quiconque veut servir Dieu qu'il a mis en doute : "Tout ce qu'un homme possède (pas seulement Job), il le donnera pour sauver sa peau." (Bible en français courant) Job 1:7-12 et 2:4 et 5. 8) cette question de l'intégrité envers le Créateur ne concerne pas seulement les humains. Le litige qui opposait Satan à Dieu avait une portée universelle car il concernait également le domaine spirituel. Toutes les créatures de l’univers ont été calomniées. Nul autre ne pouvait mieux défendre Jéhovah dans cette controverse que celui qui occupe, après lui, le rang le plus élevé dans l’univers, à savoir "la Parole" plus tard identifié en tant qu'homme sous le nom de Jésus Christ (Jean 1:1). Satan s’est préparé à le soumettre aux pires épreuves lorsqu’il ferait son apparition sur terre. Jésus, à l’instar de Job, "ne pécha pas et n’imputa rien d’indigne à Dieu.". (Job 1:22.) En restant parfaitement intègre et fidèle à Dieu, il prouva qu’‘il n’y avait personne comme lui sur la terre’ (Job 1:8). Jésus Christ a donc loyalement défendu jusqu'au bout la divinité et la souveraineté universelle de Jéhovah, gardant son intégrité dans l'épreuve la plus pénible et la plus humiliante. Il a aussi démontré que Jéhovah est véridique, le seul Dieu digne de notre amour entier et de notre parfaite obéissance. De toute la famille de Dieu au ciel et sur la terre, Jéhovah peut maintenant dire à Satan et à toutes ses créatures que Jésus Christ n'a pas son pareil dans tout l'univers. L’obéissance parfaite de Jésus à Dieu régla pour toujours la question de l’intégrité de l’homme envers son Créateur, sans qu’il soit besoin d’autres preuves. En Jésus seul, Jéhovah a une réponse complète et éternelle à la fausse accusation de Satan suivant laquelle Dieu est incapable de présenter quelqu'un sur terre en mesure de lui manifester sa fidélité à la perfection dans la plus grande des épreuves. Dit autrement, l’exemple de Jésus permet à Jéhovah d’opposer un démenti complet et éternel à l’affirmation mensongère de Satan selon laquelle Dieu ne pourrait jamais susciter sur terre un homme qui lui reste parfaitement intègre dans les pires épreuves (1 Corinthiens 15:45). 9) Dieu n'a pas créé les humains de telle façon qu’ils ne puissent pas se rebeller. Certes, si tel avait été le cas, jamais les malheurs et les souffrances n'auraient atteint l'humanité ! Mais Dieu ne veut pas qu’on fasse sa volonté par contrainte. Par exemple, que préfère un père ou une mère ? Un enfant leur disant "Je t’aime" parce qu’on le lui ordonne, ou un enfant qui le dit spontanément ? L'obliger à prononcer ces paroles serait totalement vide de sens. Pour qu'elles aient une valeur véritable, il faut donner à l’enfant la possibilité de laisser s'exprimer son cœur. De la même façon, Dieu a fait un don inestimable à l'humanité, à savoir le libre arbitre. Son objectif était donc que ses créatures intelligentes fassent sa volonté par amour pour sa personne et ses qualités remarquables et non par obligation. 2Corinthiens 3:17 ; 1 Pierre 2:16 10) la perfection humaine sous entendait donc la possession de cette faculté qu’est le libre arbitre. Sans cette liberté de choix, la race humaine n’aurait pu être décrétée "parfaite" par son Créateur. S’il avait manqué à Adam et à sa femme la capacité de faire un choix en la matière, ils n’auraient pas répondu aux exigences de Dieu : ils n’auraient pas été complets, parfaits, selon ses normes. De plus, si on soutient qu’un homme "parfait" ne peut pas adopter une conduite mauvaise face à une question d’ordre moral, ne faut-il pas logiquement affirmer aussi qu’une créature "imparfaite" ne peut pas avoir une bonne conduite face à une même question morale ? Pourtant, il y a bel et bien des créatures imparfaites qui adoptent une conduite droite sur des questions morales qui touchent à l’obéissance envers Dieu, qui préfèrent même subir des persécutions plutôt que de dévier de la droiture, alors que d’autres font délibérément ce qu’elles savent être mauvais. Toutes les mauvaises actions ne peuvent donc pas être excusées sous prétexte que les humains sont imparfaits. La volonté et les choix de l’individu sont des facteurs décisifs. Parallèlement, ce n’était pas la perfection humaine à elle seule qui garantissait que le premier homme agirait bien, mais plutôt l’usage de son libre arbitre ou de sa liberté de choix, motivé par sa reconnaissance pour son Dieu et son attachement à ce qui était juste. La perfection humaine ne signifiait donc pas infaillibilité. Genèse 1:31 11) pour rendre possible un soulagement durable et définitif, il fallait absolument que l'humanité constate les effets néfastes de la rébellion. De cette façon, elle allait être en quelque sorte vaccinée pour l'éternité (vaccin anti-indépendance de l'autorité divine sans annulation du don du libre arbitre). Jérémie 10:23 ; Ecclésiaste 8:9 12) un des évènements futurs les plus extraordinaires sur terre réalisé par Dieu, à savoir la résurrection des "justes et des injustes", réparera totalement tous les dommages, toutes les souffrances et toute l’oppression dont le genre humain a été affligé jusqu’à ce jour. Actes 24:15 ; Jean 5:25-29 ; Job 14:14, 15 ; Isaïe 26:19 ; 65:17-25 ; Daniel 12:13 Hoshéa 13:14 ; 1 Corinthiens 15:26 ; Révélation 21:4 13) lorsque la question sera définitivement tranchée, le droit de Dieu de gouverner sera complètement justifié. L'opposition à sa domination ne nécessitera plus l'épreuve des faits sur une longue période pour confondre ceux qui en sont la cause. L’affaire Satan servira de référence pour toujours. Si jamais une contestation semblable resurgissait, elle pourrait être invoquée comme précédent. Autrement dit, cette affaire fera jurisprudence et servira de critère pour l’éternité dans le cas où une créature intelligente, quelle qu’elle soit, en venait à remettre en question l'exercice de la souveraineté universelle de Jéhovah. Nahoum 1:9 (2ème partie du verset). Et si, dans un avenir très lointain, une ou plusieurs personnes en venaient malgré tout à revendiquer leur autonomie morale ? Pour un personnage parfait qui ne commet pas d'erreur tel que le Créateur de l'univers, l'idée d'accorder une deuxième chance à des opposants à sa souveraineté n'est pas envisageable. Puisque des rebelles ont déjà échoué une fois avec une somme colossale de souffrances à la clé c'est la preuve qu'ils échoueront encore même s'ils ont, de leur point de vue, trouvé de bien meilleures méthodes pour exercer la souveraineté en comparaison aux mauvaises expériences passées. Les conséquences de l'opposition à l'autorité divine sont l'imperfection et l'échec. Accorder une ou plusieurs autres chances aux rebelles ne générera que du malheur dans la finalité et Dieu le sait. Isaïe 46:10 Conclusion : Parce qu’il voit les choses à long terme - l'infini - le Créateur sait qu’il devait impérativement commencer par régler deux questions de la plus haute importance : établir son droit de gouverner en qualité de Souverain de l’univers et prouver la justice de sa domination. Il lui fallait également fournir la preuve que sa création est parfaite en ce que des humains obéissant fidèlement à ses lois justes sont capables de garder leur intégrité face aux épreuves et à la persécution suscitées par les dirigeants du monde, ce que son Fils Jésus a démontré de façon éclatante lorsqu’il était sur terre. Il devait enfin montrer les conséquences du bon et du mauvais usage du libre arbitre. Ayant réglé toutes ces questions, Dieu ne permettra pas que la méchanceté et la souffrance réapparaissent un jour et troublent la paix de l’univers. Tout au long de l’éternité, il pourra se référer à ces millénaires de domination humaine comme à une sorte de décision de Cour suprême. Un précédent aura été établi qu’il pourra à tout moment invoquer si, en quelque endroit de l’univers, des questions touchant à sa souveraineté ou à l’usage du libre arbitre sont de nouveau soulevées. Stef : 06 73 47 57 92